Orange : la réorganisation du réseau de boutiques alourdit le climat social chez l’opérateur Les syndicats sont vent debout contre le transfert de magasins vers une filiale où les conditions de travail sont moins favorables.
Orange se retrouve à devoir gérer deux fronts sociaux : la suppression de 670 emplois au sein de sa division business et le transfert de 150 des 279 magasins du groupe vers sa filiale Générale de Téléphone.
Ces transferts pourraient directement affecter jusqu'à 1800 salariés d’Orange, dont les conditions de travail et les salaires pourraient se trouver significativement diminués. Les syndicats pointent le fait que ce projet de réorganisation du réseau de boutiques se fait sans concertation et qu'Orange ne prend pas en compte l’impact social que cela aura sur les salariés.
Les syndicats réaffirment leur sentiment de solidarité envers leurs membres et menacent de prendre toute action nécessaire pour contester le projet.
Orange, quant à lui, défend sa position en soulignant que la gestion de l’évolution des points de vente eux-même est dans l’intérêt des salariés et des clients. Selon les syndicats, une telle mobilité est avant tout financièrement motivée et connue pour avoir des conséquences néfastes sur les emplois et les salaires.
La position des syndicats est donc de protester contre le projet de réorganisation du réseau de boutiques, tandis que celle de Orange les invite à jouer un rôle plus actif et constructif.
Les tensions montent chez Orange, alors que l'opérateur de télécommunications a lancé un projet qui pourrait causer des dégâts importants à ses relations sociales. En effet, Orange prévoit de transférer jusqu'à 150 de ses 279 magasins à sa filiale Générale de Téléphone. Cela aurait des conséquences importantes pour les 1 800 salariés affectés par ce transfert, en particulier en termes de salaires et d'accords sociaux.
Les syndicats d'Orange ont immédiatement réagi et dénoncé une politique qu'ils qualifient de négative pour le personnel du groupe. Ils ont également averti que ce plan de restructuration entraînerait une baisse des salaires et une violation des droits des travailleurs. Face aux protestations, le groupe a annoncé qu'il travaillait sur un plan de sauvegarde de l'emploi, qui pourrait inclure l'octroi de primes de départ et l'attribution de postes à l'intérieur des boutiques toujours ouvertes au sein du groupe afin de soulager la peine causée par le transfert.
Le climat social à Orange semble s'alourdir chaque jour. Les syndicats appelleront au boycott de certains produits et services Orange pour protester contre le projet de restructuration. De plus, ils demanderont aux instances dirigeantes du groupe de revoir leur position. Nous sommes donc de plus en plus nombreux à nous demander si Orange arrivera à s'en sortir sans y laisser des plumes.
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